Étiquette : Murmures égarés

  • ✴️ Entre deux mondes

    ✴️ Entre deux mondes

    Réflexion de Toussaint – entre lumière, mémoire et mystère


    Il y a, dans les premiers jours de novembre, quelque chose de suspendu.
    L’air se fait plus dense, les ombres plus bavardes.
    Les vivants ralentissent, les morts s’approchent. Non pour effrayer, mais pour rappeler.


    La Toussaint, qu’on dit fête des saints, n’a jamais été qu’un écho de plus ancien encore :
    celui de Samhain, le passage entre les mondes.
    C’est ce moment de l’année où le voile s’amincit,
    où les frontières s’effacent,
    où les mémoires se réveillent.
    Et si l’on tend l’oreille,
    on peut presque entendre…
    le bruissement discret de ceux qui furent avant nous.


    Ce n’est pas un jour triste, ni une célébration macabre.
    C’est un souffle de reconnaissance :
    celui des racines, des lignées, des histoires tissées avant la nôtre.
    C’est le temps des bougies posées à la fenêtre,
    des pensées murmurées aux absents,
    des repas partagés avec un souvenir à table.


    La lumière d’une flamme ne chasse pas l’ombre, elle la révèle.
    Elle lui redonne sens, profondeur, présence.
    Et dans ce fragile éclat,
    nous comprenons que rien ne disparaît vraiment.
    Les âmes changent de forme,
    les liens demeurent.


    Alors en ce 1er novembre,
    rallumons nos bougies.
    Pour ceux qui veillent.
    Pour ceux qui nous ont transmis, aimés, initiés.
    Et pour nous-mêmes aussi car nous faisons déjà partie, à notre manière,
    de cette grande ronde d’âmes qui se souviennent.

    ✨ À ceux qui passent entre les mondes,
    et à ceux qui savent encore écouter le silence.

  • Semer dès septembre : projets, envies et graines à faire grandir.

    Semer dès septembre : projets, envies et graines à faire grandir.

    Septembre n’est pas qu’un mois de cahiers neufs et d’emplois du temps. C’est aussi une terre fertile, un moment charnière où l’on peut planter les graines de ce qu’on aimerait voir pousser dans les mois à venir.

    Chaque rentrée me donne cette impression d’un jardin intérieur à cultiver : il y a des envies, des projets, des résolutions discrètes qui attendent d’être déposés dans la terre du quotidien.


    ✍️ Écouter ses envies, les écrire

    Avant même de planifier, je prends le temps de noter ce qui me fait envie : une nouvelle habitude, un projet créatif, un objectif professionnel ou même une simple bulle de bien-être. Écrire ces idées, c’est déjà les reconnaître, leur donner une place.

    Parfois elles restent des esquisses, parfois elles s’épanouissent. Peu importe : ce qui compte, c’est de les avoir déposées quelque part.


    🌱 Commencer petit, cultiver avec patience

    Comme au jardin, il serait vain de tout planter d’un coup en espérant que tout fleurisse immédiatement. Septembre invite à la progressivité.
    Une habitude à la fois, une priorité claire, un projet à avancer par petites étapes. C’est la constance, plus que la vitesse, qui fait la différence.


    💧 Nourrir ce qu’on sème

    Une graine oubliée ne pousse pas. Alors je m’accorde des rituels pour entretenir mes projets :

    un point hebdo dans mon carnet pour voir où j’en suis,

    un moment pour célébrer les petites victoires,

    et, surtout, l’acceptation que tout ne se développera pas au même rythme.

    Certaines envies germent vite, d’autres mettent des mois. C’est normal.


    🌸 Accueillir les surprises

    Ce que j’aime avec septembre, c’est que tout n’est pas prévisible. Comme dans un vrai jardin, il y a parfois des pousses inattendues : une rencontre, une idée, une opportunité. Les laisser entrer dans le tableau rend la rentrée plus vivante, plus souple.


    🌙 Une promesse discrète

    Alors, en ce début d’année scolaire, je sème. Pas avec fracas, mais avec douceur et confiance. Et j’avance, en me disant que chaque petite graine posée aujourd’hui dessinera le paysage de demain.


    ✨ Et toi, quelles graines as-tu envie de semer en ce mois de septembre ?

  • Zentangle et papier découpé.

    Zentangle et papier découpé.

    Aujourd’hui, j’ai voulu profiter d’un moment à moi. Chose qui ne m’arrive pas souvent 😅
    Mais aujourd’hui, j’ai aussi voulu profiter d’un moment avec mon Loulou 🥰
    Alors quoi de mieux qu’un atelier créa !

    Si tu me connais ou me suis depuis un moment, tu sais que j’adore créer mais que je ne m’en donne malheureusement pas le temps.

    Erreur réparée donc aujourd’hui avec cet atelier zentangle et papier découpé organisé par Laure Bercier et la Mediathèque municipale de ma ville.
    2h de découverte de ces 2 techniques, 2h de bonheur et de détente !


    Si tu ne connais pas ces 2 techniques, je t’explique vite fait :


    Le zentangle, c’est un peu comme tracer des chemins secrets sur une feuille. On part d’un petit geste, d’une courbe, d’un point, puis on laisse les lignes s’entrelacer, se répéter et danser. Peu à peu, le dessin devient une mosaïque vivante, un univers miniature qui invite à la sérénité. C’est une méditation déguisée en jeu de crayons, où l’esprit se calme et se laisse porter.

    ✂️ Le papier découpé, lui, ouvre une autre porte : celle des ombres et de la lumière. On cisèle la feuille comme une dentelle, on la transforme en un voile fin où chaque ouverture raconte une histoire. Derrière ce travail patient se cache une poésie fragile : le blanc devient relief, le vide devient décor. Comme si le papier acceptait de révéler son âme.

    Et c’est exactement ce que nous avons vécu, mon fils et moi, durant ces deux heures hors du temps.
    Mon cutter a chuchoté, nos crayons ont dansé… et nos sourires se sont posés entre les traits et les découpes. Un moment simple, mais qui avait le goût précieux des trésors qu’on garde longtemps dans le cœur.

    En refermant la porte de l’atelier, j’ai eu la sensation d’avoir ramené bien plus qu’un dessin ou une découpe : un éclat de calme, une bulle de complicité, un petit fragment d’éternité. ✨
    Et si, finalement, la vraie création n’était pas seulement sur le papier… mais dans ces instants partagés qui deviennent nos plus belles œuvres ?

    Une chose est sûre, si mon emploi du temps me le permet, Laure nous reverra à son prochain atelier 😇


  • Quand la rentrée devient aussi la mienne : organiser son temps de maman créative.

    Quand la rentrée devient aussi la mienne : organiser son temps de maman créative.

    La rentrée, c’est souvent celle des enfants qu’on met en avant : cartables, cahiers, emplois du temps. Mais derrière, il y a aussi la nôtre. Celle des mamans, des femmes qui jonglent avec mille casquettes et qui, parfois, oublient qu’elles aussi vivent une rentrée.

    Chez moi, ce moment a un double visage : une maison qui s’anime de nouveaux horaires… et mon bureau, qui m’attend. Un écran qui réclame mes mots, des carnets qui appellent mes idées, des perles et rubans qui patientent dans leurs boîtes et des flacons de parfum qui chuchotent leurs promesses. La rentrée, c’est aussi le moment où je dois réapprendre à habiter mon temps.


    Les heures creuses, mes alliées ⏳

    Quand les enfants partent à l’école, la maison respire autrement. Le silence est plus dense, presque intimidant. Mais c’est précisément dans ces heures creuses que je peux avancer sur mes projets.
    Plutôt que de les remplir de tâches domestiques sans fin, j’essaie de protéger quelques blocs de temps pour mes créations, mon écriture, mes bijoux. Ces moments-là deviennent des trésors, parfumés parfois d’une senteur douce qui m’accompagne et m’inspire.


    Oser prendre sa place 🌟

    Il est facile de croire que notre temps est moins “prioritaire” que celui des enfants ou de la maison. Pourtant, si je m’oublie, mes projets aussi s’étiolent. Alors j’apprends à poser des limites :

    🗓️ noter mes créneaux de travail comme s’il s’agissait d’un vrai rendez-vous,

    🗣️ prévenir les enfants que “Maman travaille” même si elle est à la maison,

    🤝 accepter de repousser certaines tâches secondaires.

    Travailler de chez soi n’enlève rien à la valeur de ce qu’on fait.
    Comme on choisit un parfum pour se sentir pleinement soi, j’apprends à poser mes limites et à affirmer ma place.


    Des outils simples, mais précieux 🛠️

    Je n’ai pas besoin d’un agenda sophistiqué pour m’organiser. Un carnet, quelques listes, parfois un minuteur, suffisent.

    📔 Le carnet me permet de vider ma tête et de clarifier mes priorités.

    📝 La liste quotidienne m’évite de me disperser.

    ⏱️ Le minuteur m’aide à me concentrer par petites tranches, sans me laisser engloutir par le temps.


    Les parfums comme boussole 🌸🧭

    Quand je travaille, j’aime choisir une senteur qui accompagne mon moment : une fragrance légère pour écrire, une note gourmande pour créer, une odeur apaisante pour réfléchir…
    Les parfums deviennent comme des marque-pages invisibles de mes journées, des repères qui me ramènent à l’essentiel : je ne suis pas qu’une maman qui court après le temps, je suis aussi une femme qui respire, qui s’inspire.


    Une rentrée pour moi aussi 🍁

    Cette année, je choisis de voir la rentrée non seulement comme une reprise scolaire, mais comme une opportunité pour moi aussi : avancer dans mes projets, affirmer ma place de créatrice, donner de la valeur à mon temps.

    Parce qu’au fond, la rentrée n’appartient pas qu’aux enfants. Elle est aussi celle des mamans, des femmes qui inventent chaque jour leur propre chemin, portées par leurs projets et par les senteurs qui rythment leurs journées.



    Et toi, arrives-tu à t’accorder du temps pour tes projets quand septembre revient ? 💭

  • Reprendre ses marques après l’été : routines légères (et pas catastrophiques) pour ne pas se noyer

    Reprendre ses marques après l’été : routines légères (et pas catastrophiques) pour ne pas se noyer

    Septembre est arrivé. L’été a laissé derrière lui des soirées qui s’étirent comme un chat paresseux, des repas pris à des heures où même les horloges se disent “mais pourquoi ?!”, et des journées sans la moindre notion d’horaires… Et voilà qu’il faut ranger les cartables, recaler les réveils et jongler avec les agendas. Bref, la rentrée, c’est un peu comme retrouver son bureau après une invasion de lutins farceurs : tout est là, mais un peu en vrac.

    Et pourtant… on peut respirer. Oui, la rentrée peut aussi se vivre doucement, comme un passage secret entre deux mondes : celui des vacances et celui de la vraie vie, avec ses corvées, ses cris d’enfants et son café tiède qui nous fait les yeux doux.


    Commencer par de petites habitudes (magiques mais discrètes)

    Pas besoin de transformer nos journées en checklist infernale. On commence par des rituels presque invisibles, mais puissants :

    • préparer les vêtements et sacs la veille (comme si on déposait des sorts de tranquillité sur la chambre) ;
    • écrire une mini-to-do le soir pour le lendemain (même si ça se résume à “ne pas oublier de respirer”) ;
    • se garder 10 minutes le matin pour respirer, en regardant le chat faire des acrobaties ou en faisant semblant que le café est une potion magique.

    Ces petits gestes, à peine perceptibles, transforment un potentiel chaos en un doux ballet quotidien.


    Retrouver le rythme familial sans culpabilité (et sans cris de banshee)

    Les enfants, eux aussi, passent d’un monde féerique et sans horaires à l’univers impitoyable de l’école. Vouloir qu’ils soient immédiatement “au carré” dès septembre relève de la science-fiction. Alors on accepte :

    • les couchers un peu tardifs (le temps que les étoiles soient alignées correctement) ;
    • les matins où ça râle encore (c’est un peu leur sport national) ;
    • les cahiers oubliés (ils ont juste voulu tester votre patience).

    Chaque rentrée est un ajustement. Chaque jour est un pas de plus vers l’équilibre… et un pas de moins vers l’hystérie.


    Laisser de la place à la douceur (et aux gourmandises secrètes)

    Et si la rentrée n’était pas qu’une affaire de contraintes ? J’aime y glisser de petites touches magiques :

    • un goûter clandestin le mercredi (avec un biscuit volé au passage) ;
    • une discussion partagée le soir, même si c’est juste pour se dire “on a survécu” ;
    • une bougie allumée sur le bureau, qui rend n’importe quelle facture un peu plus poétique.

    Ces détails minuscules rappellent que la rentrée peut être douce, pleine de charme… et légèrement espiègle.

    enfants parlant avec leur maman.

    Se donner le droit d’avancer lentement (comme un chat sur un rebord de fenêtre)

    Il n’existe pas de rentrée “parfaite”. Il n’existe que la nôtre, adaptée à notre famille, notre rythme et nos réalités. Alors, pas à pas, on reprend ses marques. Sans courir, sans se juger, juste en glissant vers l’équilibre. Parce qu’en vérité, c’est dans la douceur, la fantaisie et l’humour que la rentrée devient réellement durable.


    Prends 10 minutes pour toi ce septembre…

    Septembre peut vite devenir étouffant entre obligations, fatigue et reprise du rythme. Pour t’aider à souffler et à retrouver ton centre, j’ai préparé un Mini-rituel de 10 minutes pour survivre à septembre : respiration, écriture, gratitude et micro-actions pour finir la journée apaisée.

    🌙 Télécharger ton rituel express ici

    Imprime-le, colle-le sur ton bureau ou garde-le sur ton téléphone : 10 minutes suffisent pour sentir la différence ! Et rassure toi, c’est gratuit et sans adresse mail à donner ou formulaire à remplir (tu en as rempli bien assez le jour de la rentrée! 😉)

    ✨ Et toi, quelles petites habitudes secrètes t’aident à traverser le tumulte de septembre sans perdre la tête… ni ton café magique ?

  • La rentrée sous mon toit : entre cartables et créations

    La rentrée sous mon toit : entre cartables et créations

    La rentrée a sonné.
    Chez moi, elle a deux visages : celui d’un cartable de CM2, un peu trop rempli, porté par un garçon de dix ans qui prend déjà des airs de grand… et celui d’une ado de dix-sept ans, en CAP, qui trace doucement sa voie professionnelle. Deux étapes de vie, deux rythmes, deux énergies qui cohabitent sous le même toit.

    Et puis il y a la mienne, plus discrète mais tout aussi importante. Ma rentrée se passe ici, à mon bureau, entre l’écran d’ordinateur, les carnets ouverts, les senteurs envoûtantes de mes parfums, les bijoux en devenir et les articles de papeterie qui attendent d’être façonnés. Reprendre, pour moi, c’est jongler : entre le rôle de maman, celui de créatrice, d’écrivaine, de travailleuse indépendante.

    La maison bruisse de nouveaux départs. Les plannings s’alignent, les horaires s’entrechoquent, et moi, j’essaie de garder le fil. La rentrée n’est pas qu’une affaire d’école : c’est un moment de réajustement pour toute la famille, une danse délicate où chacun cherche sa place et son rythme.

    Ce que j’aime dans la rentrée

    C’est ce mélange d’effervescence et de promesse. Les cahiers tout neufs qui sentent encore l’encre, les projets créatifs qui s’ouvrent comme des portes à pousser, et ce parfum de renouveau dans l’air. La rentrée, c’est un peu comme une seconde nouvelle année, mais moins bruyante, plus intime.

    Ce que j’apprends de mes enfants

    Les voir partir chacun dans leurs univers me rappelle que moi aussi, j’ai le droit d’explorer, de m’exprimer, d’apprendre, d’oser. Leur rentrée est aussi la mienne : pas seulement sur le plan du travail, mais dans l’attitude. Avancer, tester, corriger, recommencer.

    Et maintenant ?

    Je ne sais pas encore tout ce que cette année apportera. Mais je sais que nous allons l’écrire ensemble, à coups de crayons, de mots, de parfums, de perles et de petits gestes du quotidien. Et que, derrière l’agitation des débuts, se cache toujours une belle histoire en train de s’inventer.


    Et toi, comment vis-tu ta rentrée cette année ?

    Sandrine – Tisseuse de secrets

  • Quand le Temps Prend des Vacances (et moi aussi, un peu)

    Quand le Temps Prend des Vacances (et moi aussi, un peu)

    Youhou ! 🎉

    Je suis en vacances. Une semaine entière. Sept jours bénis. 168 heures sans réveil qui sonne pour me rappeler que les responsabilités n’attendent pas. Une semaine sans avoir à calculer le timing parfait entre « Tu vas être en retard », « Dépêche-toi », et « Pourquoi t’as mis UNE seule chaussette ?? ». Bref, une pause temporelle, une parenthèse enchantée.

    Franchement, je crois que le concept même de vacances a été inventé par une maman exténuée, les cernes plus marquées que son eyeliner, et un café froid à la main.
    Parce que là, tout de suite, maintenant, je respire.

    Matins sans chrono ni chrono dans le matin

    Le matin ?
    Oh, ce mot qui sonnait comme une injonction militaire jusqu’à présent…
    Désormais, c’est un terrain de paix.
    Pas de course contre la montre. Pas de voiture. Pas de sac à préparer en quatrième vitesse.
    Et surtout, pas besoin de réveiller le petit frère en panique parce que la grande sœur doit être à l’heure.
    Je peux enfin dormir un peu plus. (Et si tu savais comme j’en ai besoin… 💤)

    Pas de programme. Juste le temps.

    Cette semaine, pas de grand voyage prévu. Pas de sortie spectaculaire.
    Et tu sais quoi ? Ça me va très bien.
    Pas besoin d’aller courir après des souvenirs Instagramables quand on peut simplement… être.
    Être ensemble, chacun à son rythme.
    Prendre le temps de ne rien faire. Regarder le temps qui passe. Et si possible, le faire lentement. Très lentement.

    Je redécouvre la beauté des journées sans agenda.
    Des repas qui se prennent quand on a faim, pas quand la pause est prévue.
    Des jeux improvisés, des rires, des petits bonheurs du quotidien, sans la pression de l’horloge.

    Une semaine sans montre… et sans montées de stress

    Tu vois, d’habitude, je suis le GPS humain de mes enfants :

    “Dans 12 minutes tu dois être en maths, dans 6 minutes le bus passe, dans 3 minutes t’as intérêt à avoir mis tes chaussures sinon je pars sans toi.”

    Mais cette semaine, le seul timing que je respecte, c’est celui de mon envie de respirer.
    Et franchement… quelle liberté.

    Le vrai luxe ? Le temps.

    On ne le dit pas assez : le véritable luxe, ce n’est pas l’argent, ni les voyages, ni même les chaussures à talons qui ne font pas mal aux pieds.
    Non, le vrai luxe, c’est d’avoir le temps.
    Le temps de traîner. De lire. De rêvasser. De faire un gâteau juste pour le plaisir (et de lécher la cuillère sans que personne ne juge).
    Le temps d’écouter ses enfants au lieu de leur crier “ALLEZ ON Y VA !” tous les matins.
    Le temps de ne pas avoir à penser à l’heure d’après.

    Alors voilà.
    Cette semaine, on ne court pas.
    On avance doucement.
    Ensemble.
    Sans montre, sans alarme, sans programme.
    Et c’est un vrai bonheur.

    Et toi? Elles ressemblent à quoi tes vacances?

  • 🖋 Entre les Secrets – L’écritoire 🖋

    🖋 Entre les Secrets – L’écritoire 🖋

    Je t’écris d’ici, sans horloge ni plan, quand les mots me prennent ou que le silence pèse. 

    Parfois je te raconte mes jours, mes rêves, mes doutes, parfois je te parle d’un projet ou d’un instant volé. 

    C’est un endroit pour déposer ce qui ne tient pas ailleurs. 

    Toi qui passes, tu es celle ou celui à qui j’écris. De moi à toi. Juste l’envie de partager… entre les Secrets.

                         Sandrine